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LE BUT

 

Rendre Monaco encore plus attractif pour les entreprises et élargir les moyens d’entreprendre des Monégasques.

NOUS PROPOSONS

 

De créer une société individuelle à responsabilité limitée (SIRL) qui protège l’apport de biens personnels en limitant les risques, même pour les projets d’entreprises de petite taille.
D’autoriser, selon des règles plus réalistes, la domiciliation d’entreprise au domicile quand c’est un logement domanial, à condition, bien sûr, que l’activité s’exerce sans accueil de clients ni travail de salariés au domicile de l’entrepreneur.
D’autoriser les activités commerciales dans les domiciles privés (domaines et autres secteurs) à condition, bien sûr, que l’activité s’exerce sans accueil de clients ni travail de salariés au domicile de l’entrepreneur (e-commerce).
De simplifier encore les procédures de création d’entreprises et de les rendre plus rapides, au moins pour les résidents depuis plus de trois ans, même si nos règles ne permettent pas de poursuivre l’objectif de création : « 1 personne, 1 jour, 1 euro ».

AUJOURD'HUI

 

Alors que Monaco se positionne comme un pays d’accueil de l’entreprenariat, de nombreux freins subsistent encore. Le développement de notre économie est une réelle obligation pour maintenir nos régimes sociaux à long terme et assurer la croissance des recettes pour le budget de l’État.
 

Notre première contrainte est l’espace, rare et donc cher, ce qui rend difficile l’innovation. On peut s’installer relativement facilement à Monaco si tant est que l’on trouve un local adéquat à terme et que l’on dispose de suffisamment de moyens pour le payer.
 

De plus, on ne tire pas complètement parti de ce que les technologies modernes offrent comme facilités.
 

Enfin, nous n’avons aucun dispositif « libre » qui incite à la création et à l’innovation.

LES ENTREPRISES

14 .

Guillaume Galtier, Jean-Louis Grinda et Jean Billon

MONACO NUMÉRIQUE

AUJOURD'HUI

 

Depuis plusieurs années déjà, Monaco s’est engagé dans l’ère du numérique. Avec l’entrée en vigueur de la loi n° 1.383 du 2 août 2011, la Principauté a intégré l’économie numérique dans son environnement juridique. 

 

Monaco Telecom, opérateur de télécommunications, propose depuis juin 2015 un data center hyper performant, DC3, qui a une capacité d’hébergement de 220 baies assurant une grande sécurité physique des données. Il permet notamment aux entreprises et administrations de Monaco d’externaliser sereinement tout ou partie de leurs serveurs avec la garantie de conserver leurs données en Principauté. Concernant les établissements scolaires publics, 2,2 millions d’euros sur cinq ans vont être consacrés aux nouvelles technologies (achat de 1 000 tablettes numériques, de 260 outils interactifs de projection et développement d’un environnement numérique de travail).


À terme, tout le monde – sans exception – sera confronté au numérique. Il serait par conséquent opportun d’intensifier au plus vite la facilitation de la transition numérique des différents acteurs de la Principauté, autant dans le secteur public que privé. Il en va de notre avenir.
 

NOUS PROPOSONS
 

01. De créer un réseau et une communauté de pratiques, d’acteurs de la fabrication numérique et de la transition du territoire. L’idée est de pouvoir explorer et expérimenter le passage de la conception numérique vers la fabrication d’objets physiques et de son potentiel transformateur sur le territoire monégasque. Ce lieu de rencontre sera dédié au numérique et à l’innovation.
02. De créer une commission consultative au sein du Conseil national qui aura pour mission de formuler des recommandations sur toute question relative à l’impact du numérique sur la Principauté et son économie.
03. De participer au développement des MOOCs (Massive Open Online Courses) en Principauté, des cours sur Internet (à distance), gratuits (ou à moindres frais), ouverts à tous. Ces cours sont destinés à toute personne souhaitant se former dans un domaine : lycéen, étudiant, personne en recherche d’emploi ou en activité.
04. De demander au Gouvernement la transformation rapide de la proposition de loi relative à la « blockchain » en une loi qui serait ainsi la première du genre au plan mondial.

LE BUT

 

♦ Faire de Monaco un pays pilote du numérique.
♦ Permettre aux jeunes Monégasques de pouvoir réaliser leurs projets numériques au sein de leur pays.
♦ Permettre aux établissements d’enseignement, aux secteurs public et privé, de faire rayonner la Principauté aux niveaux européen et international par la réalisation de vidéos éducatives.
♦ Et surtout, démocratiser le savoir…

Le numérique est un sujet à ne surtout pas prendre à la légère. La croissance de ce secteur s’accélère continuellement, en Principauté comme au niveau mondial. D’après Syntec Numérique, premier syndicat professionnel de l’écosystème numérique français « La transformation numérique est un moteur de croissance. Cette mutation se diffuse dans tous les secteurs de l’économie ; 76 % [des] entreprises ont lancé un chantier de “transformation numérique”, poussées par l’efficacité opérationnelle, la réduction des coûts et le renouvellement de l’expérience clients. » Le secteur numérique n’en finit pas de se développer à la vitesse grand V. Il ne cesse également de bouleverser l’entreprise, l’éducation, la santé et nos modes de vie.

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